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On a perdu l’habitude d’aller sur place dans les locaux des archives départementales (AD) et c’est un tort, car ce qui est accessible par Internet ne représente que 3 % à 4 % des documents conservés et que les AD dispensent des cours et des conférences que tous les généalogistes pourraient suivre avec profit.
Dépositaires des fonds anciens indispensables aux historiens, les AD centralisent les documents utiles à ceux qui travaillent sur le passé de leur famille : état civil, registres paroissiaux, recensements et documents notariés, pour ne citer que les principaux. Si les premiers sont simples de consultation et accessibles en ligne dans 90 % des cas, les fonds d’archives permettant de reconstituer des biographies et de retrouver le quotidien d’ancêtres disparus parfois depuis des siècles sont moins faciles à explorer.
Même dans les séries documentaires les plus simples, les méthodes de recherche ne sont pas toujours bien connues de ceux qui débutent. Quant aux documents anciens moins souvent consultés mais passionnants pour reconstituer la vie d’un aïeul, ils sont presque exclusivement à consulter sur place. Or la recherche à travers les inventaires, les séries et les cotes, est loin d’être maîtrisée par la plupart des amateurs. Enfin, les archives départementales dispensent des cours et des conférences que peuvent suivre avec profit tous les généalogistes.
Comment s’y retrouver ? Comment chercher au mieux ? Le guide aborde dans une première partie les fonds et l’organisation du travail (sur place ou sur Internet), dans une seconde partie les centres, classés par département, le tout mis à jour avec les derniers développements Internet.